jeudi 18 juin 2009

Générosité en acte

J'ai une carte de donneur d'organes depuis longtemps. Et vous ?

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14ème Journée Nationale du Don d'Organes
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4 commentaires:

  1. j'ai aussi une carte mais pour le don du sang ; acte que je fais régulièrement . Mais j'avoue ne pas avoir franchi le cap des organes car ma méconnaissance de la mort et de ces étapes ( et j'ai honte parce que des éléments de connaissance m'ont déjà été donné ),me posent question . merci de soulever la question .

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  2. Justement, ce que dit Amaya tombe à pic.
    On m'a appris que même un être très ordinaire, qui n'a aucune capacité de méditation, lors du processus des dissolutions de la mort, peut tout de même (ça peut arriver), rester jusqu'à trois jours dans la claire lumière (évidemment pas en méditation mais dans un profond sommeil d'ignorance). Ou du moins rester dans cet état léthargique jusqu'à quelques heures.
    Or le don d'organe se pratique le plus vite possible après la mort clinique. Le problème c'est qu'il s'agit tout de même d'une atteinte assez violente sur le corps (enfin, cela peut dépendre aussi de l'état d'esprit des chirurgiens et de leur manière de faire, je suppose) ce qui va, à ce moment-là, pousser le continuum mental du mort à quitter brutalement le corps, pas de façon naturelle, si je puis dire. Et l'on m'a appris (c'est une vision des choses qui existe chez certains maîtres bouddhistes, semble-t-il), que c'est plutôt de mauvaise augure ! Car ce brusque départ a une mauvaise répercussion dans le bardo qui va suivre : cela peut provoquer des perturbations (lesquelles ?) dans cet l'esprit et l'amener à se diriger vers un état infortuné.
    Marie-Stella, as-tu déjà entendu cette interprétation de la part d'un de tes maîtres ? (il me semble que Rimpotché n'en a pas parlé dans ses derniers enseignements sur la mort).
    Merci.
    Ivan.

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  3. Je profite que le sujet soit soulevé pour vous faire part de l'immense sentiment de gratitude que j'éprouve envers la généreuse personne qui avait signé sa carte de donneur d'organes et qui a permis à ma mère (de cette vie-ci) de "ressusciter" grâce à une transplantation hépatique.
    Donner son corps (ou une partie)de son vivant est un acte de générosité incroyablement difficile qui ne peut être accompli que par des êtres exceptionnels. En revanche, cela nous est accessible à notre mort, en offrant nos organes qui permettent de sauver jusqu'à 7 vies, sans compter le bonheur offert aux familles et aux proches des êtres chers qui obtiennent ainsi une deuxième vie.
    Alors oui, ma carte est signée et je fais le vœu que mes organes soient en bon état après ma mort pour qu'ils puissent sauver des vies.

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  4. Certaines personnes (dont des bouddhistes) portent sur eux la carte qui dit qu'ils ne veulent pas donner leur organes après leur mort. De prime abord, cela parait choquant.
    Mais d'un point de vue bouddhiste, est-ce justifiable ou est-ce lié à une erreur de compréhension ? Si c'est justifiable, qu'elles en sont donc les véritables raisons ? Est-ce une attitude respectable ou pas du tout généreuse, voir inavouable ?
    Cela serait bien un jour d'éclaircir ces points là.

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