jeudi 24 juin 2010

De la souffrance

«L a souffrance est partout, et la souffrance n’est pas désirable. » Voilà, en très, très résumé, le constat de base qui a présidé au mariage des sciences cognitives et du bouddhisme.

Voir la suite dans cet article du Point :

Le bouddhisme au secours de la médecine, actualité Société : Le Point

2 commentaires:

  1. Oui, j'ai posté quelques infos sur ce sujet fondamental comme celui là : http://espritscience.blogspot.com/2007/05/des-moines-en-labo.html

    Celui ci aussi : http://espritscience.blogspot.com/2008/05/lesprit-change-t-il-le-cerveau.html

    Des résultats scientifiquement établis seront une avancée considérables pour la reconnaissance d'une pratique comme voie sinon de guérison, de soulagement notable...

    RépondreSupprimer
  2. Je ne suis pas très sûre qu'on puisse dire que le Bouddhisme...peut porter secours à la Science...Etant donné que pour les personnes qui pratiquent dans leur quotidien l'enseignement du Bouddha, c'est-à-dire le Dharma, un des points principales, et on pourrait aussi dire le pivot de leur pratique en général, est de ne pas nuire aux êtres sensibles. Car comme le Bouddha Shakyamouni l'a exposé dans son enseignement sur les Quatre Nobles Vérités, tout être sensible est sujet à ressentir de la souffrance, quelle soit du domaine du corps, ou du mental. La science quant à elle, peut aussi partager ce point de vue que tous les êtres souhaitent être libérés de la souffrance et obtenir le bonheur...Cependant, et aussi malheureusement toutes les dites sciences n'appliquent pas à la règle dans les méthodes qu'elles emploient, la base fondamentale du principe de non-violence, ou au moins de ne pas prendre la vie des êtres, et ne pas les nuire. Il y a néanmoins Science et science...

    RépondreSupprimer