Celui qui n’a pas les poils qui se hérissent lorsqu’il songe à ses propres errances dans le saṃsāra où il est privé de bonheur et soumis à la souffrance, n'est pas en capacité de ressentir comme insupportable qu’autrui soit privé de bonheur et soumis à la souffrance.
Djé Tsongkhapa, Grand Lamrim
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