
Après lui avoir posé plein de questions sur sa vie, en particulier son enfance et ses choix de vie, le jeune Lama a conclu : "Moi, je n'ai pas eu le choix."
Réflexion surprenante de la part de quelqu'un considéré comme ayant transcendé les contraintes de ce bas monde.
Mais souvent, les Lamas se mettent eux-mêmes en scène pour délivrer des instructions qui concernent en fait leurs interlocuteurs.
D'où question : "Au fond, ai-je eu tant le choix que ça ?"
Quelle est la part des karma ? Celle des klesha (ignorance, attachement, aversion et autres) ? Celle de l'éducation et de la culture ambiante ? Et finalement du libre-arbitre ?
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