Un chapitre du Lamrim met en évidence les six pires maux du samsara, dont le fait qu'on ne peut jamais être sûr de rien (absence de certitude) ou encore le fait qu'on ne cesse de passer par des hauts et des bas.
Des exemples ?
L'actualité en regorge. On n'a que l'embarras du choix pour illustrer le sujet.
Dans un premier temps, méditer sur ces points en lien avec soi-même permet de cultiver le renoncement au samsara, c'est-à-dire le dégoût, l'horreur envers le samsara.
Cela rend capable d'élargir dans un second temps la méditation à autrui avec pour effet de développer de la compassion à son égard.
Sinon, hélas, les faits divers risquent d'avoir surtout pour effet de stimuler les facteurs perturbateurs, dont la cruauté.
Haro sur le baudet !
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