Certaines de mes consoeurs moniales bouddhistes réclament à corps et à cri l'égalité avec les moines. Parfois avec véhémence.
Cet article paru dans le Figaro me semble intéressant car il rappelle (si cela était vraiment nécessaire) que les difficultés rencontrées par les femmes n'ont pas grand chose à voir avec la doctrine bouddhistes.
"...le fond de la question n'est pas le principe de la dignité égale de l'homme et de la femme, mais de l'exercice du pouvoir "spirituel" (dans toutes les acceptions du terme) par des femmes", écrit l'auteur de l'article.
Sais pas. Question à approfondir. Et puis, l'un n'empêche pas l'autre, s'pas ?
Bonjour Marie-Stella
RépondreSupprimerVotre note m'a rappelé une époque de ma jeunesse, époque pendant laquelle certaines femmes revendiquait avec énergie, si j'ai bonne mémoire, le droit de devenir prêtre catholique !!!
A cette époque donc, je me demandais pourquoi elle ne "s'attaquait" pas plutôt à la revendication de la Sainteté qui, elle,
- n'était absolument pas un interdit,
- me semblait un objectif hautement préférable - mais là, j'ai peut-être tort si l'on pense, par exemple, au ministère du (devenu Saint) Curé d'Ars -,
- et surtout ne dépendait que de leur "désir et décision intérieure" (enfin, pour l'essentiel, me semble-t-il.)
Maintenant, je ne sais plus trop. Peut-être que ma vue dans ce genre de préoccupation terrestre est un peu limitée ...
Merci beaucoup pour vos chroniques.
Amicalement
MPierre :-)
En tout cas, selon le mahayana (vajrayana inclus), rien ni personne n'interdit aux femmes de devenir Bouddha. Qu'on soit homme ou femme, suffit d'en réunir les causes...
RépondreSupprimerBonne route.
Amitiés,
Marie-Stella