Ô la vile chose et abjecte que l’homme, s’il ne s’élève au-dessus de l’humanité !
C'est-à-dire, je suppose, si on se contente de la nature imparfaite des agrégats souillés d'un être humain ordinaire du samsara, régi par les poisons de l'esprit - à commencer par l'ignorance, l'attachement et l'aversion.
«Οὐ χρὴ δὲ κατὰ τοὺς παραινοῦντας ἀνθρώπινα φρονεῖν ἄνθρωπον ὄντα οὐδὲ θνητὰ τὸν θνητόν, ἀλλ'
RépondreSupprimerἐφ' ὅσον ἐνδέχεται ἀθανατίζειν καὶ πάντα ποιεῖν πρὸς τὸ ζῆν κατὰ τὸ κράτιστον τῶν ἐν αὑτῷ· »
"Il ne faut donc pas écouter ceux qui conseillent à l’homme, parce qu’il est homme, de borner sa
pensée aux choses humaines, et, mortel, aux choses mortelles, mais l’homme doit, dans la mesure
du possible, s'immortaliser, et tout faire pour vivre selon la partie la plus noble qui est en lui."
(Aristote Ethique à Nicomaque X, 7, 1177b30 )
Un peu la même idée chez Aristote. :)
Nicolas C.