Les tragédies se succèdent et se ressemblent - hélas - étrangement.
A quand notre tour ?
Non, non, je ne verse pas dans le "catastrophisme" à tous crins.
Mais outre des sentiments de sympathie, dont je vois ô combien ils manquent d'équanimité, envers les victimes, l'idée commence à émerger dans mon esprit qu'il serait peut-être bien temps d'aller vers l'essentiel.
Si, j'ai écrit "vers", et non pas "à", car ... ce n'est pas dans la poche : avant de pouvoir espérer arriver au but, c'est qu'il faudrait se mettre en chemin.
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