Le blog de MSB. Indications historiques, anecdotiques voire doctrinales sur le bouddhisme.
lundi 29 janvier 2018
jeudi 25 janvier 2018
Little Pilgrim (Ko Un)
A bestseller in South Korea in 1991, where it was serialized in that country's largest newspaper, Little Pilgrim is a tale of adventure and self-discovery in the tradition of Hermann Hesse's Siddhartha. Based on the Gandavyuha, Buddhism's deepest and most challenging scripture, Ko Un's Little Pilgrim relates the heroic journey of Sudhana, who sets out to discover what truth is. Throughout 20 years of fantastic travels, Sudhana encounters teachers that are human, animal, and spirit as he navigates mountain vistas, lush valleys, and remote villages.
Drawing from his own 20-year journey, as well as first-hand experiences with wars and monastic life, Un infuses his book with reflections and memories, creating fascinating characters and a vibrant story. The pinnacle of Un's career as a writer and as a man in search of truth, Little Pilgrim is a poignant voyage that resonates on many levels.
mercredi 24 janvier 2018
Etats généraux de la bioéthique
Bioéthique, comment les religions se mobilisent
Le
bouddhisme n'a ni dogme ni position définitive sur les questions
éthiques, mais cherche plutôt à y répondre avec un maximum de sagesse et
de conscience bienveillante », explique Olivier Wang-Genh, président de
l'Union bouddhiste de France (UBF). L'euthanasie, toutefois, constitue une ligne rouge...
Je suis pleinement en accord avec le Rév. Olivier Wang-Genh, que je remercie.
NB A ma connaissance, depuis près d'un an, Olivier est vice-président de l'UBF et actuellement, l'UBF a unE présidentE en la personne de Madame Minh Tri VÔ, mais cela, c'est difficile à faire "entendre" et assimiler par la société française. :-)
Je suis pleinement en accord avec le Rév. Olivier Wang-Genh, que je remercie.
NB A ma connaissance, depuis près d'un an, Olivier est vice-président de l'UBF et actuellement, l'UBF a unE présidentE en la personne de Madame Minh Tri VÔ, mais cela, c'est difficile à faire "entendre" et assimiler par la société française. :-)
dimanche 21 janvier 2018
Aimer sans mesure
Je ne sais s'il s'agit vraiment d'un proverbe tibétain, et je ne peux plus poser la question à Genlags, qui a décidé début janvier de changer de support physique.
Mais programme issu ou non du Pays des neiges, il me plaît bien, et il correspond aux conseils tant des médecins tibétains que des maîtres.
Alors, pourquoi se priver de le partager ?
Mais programme issu ou non du Pays des neiges, il me plaît bien, et il correspond aux conseils tant des médecins tibétains que des maîtres.
Alors, pourquoi se priver de le partager ?
samedi 20 janvier 2018
Les bouddhistes et le progrès (?) scientifique
Les bouddhistes face à l'intelligence artificielle
Dans
sa toge jaune, il se fait un plaisir de répondre aux questions des
fidèles sur la foi ou sur la façon de mener une vie en accord avec la
tradition bouddhiste. A ceci près: il ne communique qu'à travers un écran. Xian'er est le premier «robot-moine-bouddhiste» selon son fondateur, un autre moine, ...
vendredi 19 janvier 2018
Tibétaine, nonne et grande méditante
Un de mes Maîtres, Gyudmed Khensur Rinpoche Sonam Gyaltsen - Gen Tati pour ses co-religionnaires - (1926-2018) me parlait souvent de l'une de ses Maîtres, exilée en Inde puis rentrée au Tibet vers 1982.
Non, les "e" ci-dessus ne sont pas des fautes d'accord : si j'ai mis le féminin, c'est parce que Gyaltsen Lhamo (rGyal mtshan lha mo) est une femme ; une nonne même. Qui a beaucoup de disciples, hommes et femmes, religieux et laïcs. Et pas au Moyen-Âge ; de nos jours : elle est née dans le centre du Tibet dans les années 1920, mais comme on n'a pas eu de ses nouvelles depuis son retour au Tibet, on ne sait pas si elle vit encore ou pas.
D'abord mariée contre son gré, elle a eu un bébé, mort en bas âge, après quoi elle a été alitée des années durant par une maladie dont aucun remède ni aucun rituel ne venait à bout. Jusqu'au jour de cette visite de Kangyur Rinpoche, lama respecté de Drepung Loseling.
Toute la maisonnée s'inclinait pour recevoir par apposition des mains sur la tête la bénédiction du Maître encore assis sur son cheval, quand à la surprise générale, la jeune Gyaltsen Lhamo survint, cheveux en bataille et robe de travers, le teint grisâtre : c'était la première fois qu'elle se levait depuis des mois. La stupéfaction fut à son comble quand on vit le grand lama ôter son chapeau et se pencher pour toucher du front le front de la malade, d'égal à égal.
La mère de l'intéressée fut particulièrement impressionnée par ce geste, tant et si bien que, quand sa fille lui annonça sa décision de se retirer dans une grotte de montagne pour méditer, elle quitta la maison et l'accompagna pour la servir.
Dès lors, notre yogi tibétaine se consacra à la pratique sans jamais accorder la moindre importance au côté matériel : Zong Rinpoche (qui fut abbé de Ganden Shartse) fit un jour la remarque que sa jupe était tellement rafistolée qu'il en devenait impossible de distinguer ce qui avait été le tissu d'origine par rapport aux multiples pièces rapportées.
Assez curieusement (à nos yeux d'Occidentaux pas toujours bien informés), ce n'est qu'après avoir affectué la longue retraite de Vajrabhairava de trois ans que Gyaltsen Lhamo reçut l'Enseignement du lamrim d'un Geshe érudit de Ganden Jangtse : Geshe Nyima, professeur de philosophie de Gyudmed Khensur Rinpoche (le mien, de professeur, que j'appelle donc "Genlags").
Pour l'occasion, Gyaltsen Lhamo avait invité Geshe Nyima "chez elle" - une grotte dans le Phenpo. Comme c'était une période d'intersession au collège, Genlags avait accompagné son maître : pendant que celui-ci exposait le lamrim à leur hôtesse, Genlags mémorisait les traités philosophiques au programme de l'année. Un jour, il demanda à Geshe Nyima la transmission d'un texte de pratique, et s'entendit répondre qu'il ferait beaucoup mieux de demander cette transmission à Gyaltsen Lhamo. Ce qu'il fit, établissant ainsi avec elle un lien de maître à disciple.
Notez que, dans cette relation, "le" maître est une nonne tibétaine, qui a donc au maximum l'ordination mineure de getsulma (shramanerika) puisque l'ordination majeure de gelongma (bhikshuni) n'a jamais été introduite au Tibet. Le disciple est un gelong (bhikshu), qui plus est plus très loin du rang de geshe lharampa, et qui agit sur les conseils de son professeur, lui-même gelong et geshe lharampa. Le tout dans les années 1954-1955.
Au Tibet comme en Inde, Gyaltsen Lhamo était souvent sollicitée pour effectuer des divinations, et beaucoup de personnes la "soupçonnaient" d'avoir réalisé les pouvoirs de clairvoyance, au moins (consécutifs à l'obtention du calme mental - shamatha), tellement les réponses qu'elle donnait tombaient juste.
Vivant de rien, elle utilisait les offrandes qu'elle recevait pour faire le don sous ses différentes formes, surtout le don du Dharma (de l'Enseignement) : aux débuts de l'exil en Inde, quand les réfugiés manquaient de tout, c'est elle qui invita pour la première fois au camp de Bylakuppe, où elle habitait, Kyabje Trijang Dorjechang, prenant en charge les frais pour organiser l'Enseignement du Grand Lamrim qu'il dispensa alors. Elle invita aussi à Bylakuppe Zong Rinpoche, pour enseigner bien sûr. Par ailleurs, elle fit ériger de grandes statues, qu'elle offrit à des monastères.
Chaleureuse et disponible, elle était d'une extrême humilité, mais ses qualités étaient telles qu'elles ne pouvaient échapper à ceux qui avaient la chance de la rencontrer. Un grand lama gelugpa laissa un jour échapper une petite phrase qui laissait à entendre qu'elle était une émanation de Dulzin Takpa Gyaltsen - celui des disciples de Je Tsongkhapa qui est considéré comme le détenteur du Vinaya !
Non, les "e" ci-dessus ne sont pas des fautes d'accord : si j'ai mis le féminin, c'est parce que Gyaltsen Lhamo (rGyal mtshan lha mo) est une femme ; une nonne même. Qui a beaucoup de disciples, hommes et femmes, religieux et laïcs. Et pas au Moyen-Âge ; de nos jours : elle est née dans le centre du Tibet dans les années 1920, mais comme on n'a pas eu de ses nouvelles depuis son retour au Tibet, on ne sait pas si elle vit encore ou pas.
D'abord mariée contre son gré, elle a eu un bébé, mort en bas âge, après quoi elle a été alitée des années durant par une maladie dont aucun remède ni aucun rituel ne venait à bout. Jusqu'au jour de cette visite de Kangyur Rinpoche, lama respecté de Drepung Loseling.
Toute la maisonnée s'inclinait pour recevoir par apposition des mains sur la tête la bénédiction du Maître encore assis sur son cheval, quand à la surprise générale, la jeune Gyaltsen Lhamo survint, cheveux en bataille et robe de travers, le teint grisâtre : c'était la première fois qu'elle se levait depuis des mois. La stupéfaction fut à son comble quand on vit le grand lama ôter son chapeau et se pencher pour toucher du front le front de la malade, d'égal à égal.
La mère de l'intéressée fut particulièrement impressionnée par ce geste, tant et si bien que, quand sa fille lui annonça sa décision de se retirer dans une grotte de montagne pour méditer, elle quitta la maison et l'accompagna pour la servir.
Dès lors, notre yogi tibétaine se consacra à la pratique sans jamais accorder la moindre importance au côté matériel : Zong Rinpoche (qui fut abbé de Ganden Shartse) fit un jour la remarque que sa jupe était tellement rafistolée qu'il en devenait impossible de distinguer ce qui avait été le tissu d'origine par rapport aux multiples pièces rapportées.
Assez curieusement (à nos yeux d'Occidentaux pas toujours bien informés), ce n'est qu'après avoir affectué la longue retraite de Vajrabhairava de trois ans que Gyaltsen Lhamo reçut l'Enseignement du lamrim d'un Geshe érudit de Ganden Jangtse : Geshe Nyima, professeur de philosophie de Gyudmed Khensur Rinpoche (le mien, de professeur, que j'appelle donc "Genlags").
Pour l'occasion, Gyaltsen Lhamo avait invité Geshe Nyima "chez elle" - une grotte dans le Phenpo. Comme c'était une période d'intersession au collège, Genlags avait accompagné son maître : pendant que celui-ci exposait le lamrim à leur hôtesse, Genlags mémorisait les traités philosophiques au programme de l'année. Un jour, il demanda à Geshe Nyima la transmission d'un texte de pratique, et s'entendit répondre qu'il ferait beaucoup mieux de demander cette transmission à Gyaltsen Lhamo. Ce qu'il fit, établissant ainsi avec elle un lien de maître à disciple.
Notez que, dans cette relation, "le" maître est une nonne tibétaine, qui a donc au maximum l'ordination mineure de getsulma (shramanerika) puisque l'ordination majeure de gelongma (bhikshuni) n'a jamais été introduite au Tibet. Le disciple est un gelong (bhikshu), qui plus est plus très loin du rang de geshe lharampa, et qui agit sur les conseils de son professeur, lui-même gelong et geshe lharampa. Le tout dans les années 1954-1955.
Au Tibet comme en Inde, Gyaltsen Lhamo était souvent sollicitée pour effectuer des divinations, et beaucoup de personnes la "soupçonnaient" d'avoir réalisé les pouvoirs de clairvoyance, au moins (consécutifs à l'obtention du calme mental - shamatha), tellement les réponses qu'elle donnait tombaient juste.
Vivant de rien, elle utilisait les offrandes qu'elle recevait pour faire le don sous ses différentes formes, surtout le don du Dharma (de l'Enseignement) : aux débuts de l'exil en Inde, quand les réfugiés manquaient de tout, c'est elle qui invita pour la première fois au camp de Bylakuppe, où elle habitait, Kyabje Trijang Dorjechang, prenant en charge les frais pour organiser l'Enseignement du Grand Lamrim qu'il dispensa alors. Elle invita aussi à Bylakuppe Zong Rinpoche, pour enseigner bien sûr. Par ailleurs, elle fit ériger de grandes statues, qu'elle offrit à des monastères.
Chaleureuse et disponible, elle était d'une extrême humilité, mais ses qualités étaient telles qu'elles ne pouvaient échapper à ceux qui avaient la chance de la rencontrer. Un grand lama gelugpa laissa un jour échapper une petite phrase qui laissait à entendre qu'elle était une émanation de Dulzin Takpa Gyaltsen - celui des disciples de Je Tsongkhapa qui est considéré comme le détenteur du Vinaya !
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jeudi 18 janvier 2018
De la générosité
La première citée dans la liste des six perfections est la générosité, parce qu'elle est relativement plus facile que les suivantes. Elle se définit comme consistant en "la volition de donner" (gtong ba'i sems pa), ce qui signifie qu'elle est avant tout un état d'esprit.
La générosité se conjugue de diverses manières, trois ou quatre selon les critères de classification adoptés :
- don matériel - en notant que même ici, la générosité est avant tout la volition de donner, et non l'acte de donner ... qui n'est pas forcément généreux (par exemple, si on donne un objet dont on n'a pas besoin, ou qu'on n'aime pas, pour s'en débarrasser, ou si on donne à quelqu'un quelque chose dont on sait que cela lui sera nuisible, etc.)
- don de protection (littéralement "non peur")
- don du Dharma, par exemple sous la forme de l'enseignement
- don de l'amour - qui se peut se faire dans la solitude, puisqu'il s'agit de cultiver le souhait que les êtres accèdent au bonheur et aux causes du bonheur
Le don matériel est considéré comme plutôt du ressort des laïcs, les religieux étant invités à privilégier les autres aspects de la générosité, de plus grande portée.
La générosité se conjugue de diverses manières, trois ou quatre selon les critères de classification adoptés :
- don matériel - en notant que même ici, la générosité est avant tout la volition de donner, et non l'acte de donner ... qui n'est pas forcément généreux (par exemple, si on donne un objet dont on n'a pas besoin, ou qu'on n'aime pas, pour s'en débarrasser, ou si on donne à quelqu'un quelque chose dont on sait que cela lui sera nuisible, etc.)
- don de protection (littéralement "non peur")
- don du Dharma, par exemple sous la forme de l'enseignement
- don de l'amour - qui se peut se faire dans la solitude, puisqu'il s'agit de cultiver le souhait que les êtres accèdent au bonheur et aux causes du bonheur
Le don matériel est considéré comme plutôt du ressort des laïcs, les religieux étant invités à privilégier les autres aspects de la générosité, de plus grande portée.
lundi 15 janvier 2018
Les pratiquants et la mort
Selon les textes :
Le bon pratiquant aborde la mort avec joie, comme l'enfant qui rentre à la maison paternelle.
Le pratiquant moyen l'aborde sans tergiverser - il y va franco.
Le pratiquant inférieur l'aborde sans regret - il a fait de son mieux.
Le bon pratiquant aborde la mort avec joie, comme l'enfant qui rentre à la maison paternelle.
Le pratiquant moyen l'aborde sans tergiverser - il y va franco.
Le pratiquant inférieur l'aborde sans regret - il a fait de son mieux.
dimanche 14 janvier 2018
Débat national sur la PMA
Voici quelques liens vers des matériaux susceptibles de nourrir la réflexion, au cas où ... :
Christianisme, islam, judaïsme :
Christianisme, islam, judaïsme :
PMA : ce que disent les religions - La Croix
La religion face à la PMA - Natisens
...
Bouddhisme, christianisme, islam, judaïsme
Bouddhisme, christianisme, islam, judaïsme
(documents en anglais, car en français, personne ne semble encore s'être exprimé sur la question)
Bioethics and Oncofertility: Arguments and Insights from Religious ...
[PDF]Buddhism and the Status of the Human Embryo - Chinese Heritage of ...
17 Buddhist Bioethics - Institute for Ethics and Emerging Technologies
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Législation,
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politique,
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Conseils des geshe kadampa
Quatre conseils pour se consacrer à la pratique du Dharma :
Tournez votre esprit vers le Dharma,
Le Dharma vers le dénuement,
Le dénuement vers la mort,
La mort vers une grotte isolée.
Afin d'éviter toute distraction, l'idéal serait apparemment de se retirer dans la solitude pour mourir, un peu comme le font les animaux, mais pas pour les mêmes raisons bien sûr.
Cela suppose de s'y être préparé durant la vie, sans plus s'attacher aux biens matériels, et d'avoir atteint le niveau idoine...
samedi 13 janvier 2018
Tharlo - projection de le 14 janvier
Si vous n'avez pas encore eu l'occasion d'aller voir
l'excellent film tibétain Tharlo, sorti en France le 3 janvier, n'hésitez pas à aller à la projection d'une séance spéciale de celui-ci ce
dimanche 14 janvier à 16h40 à l'Espace Saint Michel (Paris).
Cette projection
sera suivie d'un débat avec Françoise Robin, spécialiste du Tibet à
l'Inalco, sur le thème "Être un réalisateur tibétain aujourd'hui".
Bande annonce :
https://www.youtube.com/watch? time_continue=9&v=M2uyCGD-PgI
Plus d'informations
lundi 1 janvier 2018
Tharlo, le berger tibétain - fim tibétain diffusé en janvier 2018
Un film tibétain,
Tharlo, sortira sur les écrans le 3 janvier prochain grâce à un distributeur français.
Bande annonce :
www.youtube.com
LE 3 JANVIER 2018 AU CINEMA Tharlo est un berger tibétain qui mène une
existence paisible dans la montagne. Il est convoqué par les autorités
locales. Les no...
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Nouvelle Année
Que souhaiter pour 2018 ?
༄། །བདག་སོགས་བློ་སྣ་ཆོས་ལ་ཕྱོགས་པ་དང།
།ཆོས་མིན་བསམ་སྦྱོར་ངན་པ་ཞི་བ་དང་།
།ཆོས་དང་མཐུན་པའི་འདོད་དོན་མ་ལུས་པ།
།འབད་མེད་ལྷུན་གྱིས་འགྲུབ་པར་བྱིན་གྱིས་རློབས།
Et aussi
Un peu plus de solidarité.
Un peu plus de justice.
Un peu plus de respect et de bienveillance, notamment vis-à-vis des anciens, trop souvent maltraités en toute légalité pour des raisons bassement économiques.
༄། །བདག་སོགས་བློ་སྣ་ཆོས་ལ་ཕྱོགས་པ་དང།
།ཆོས་མིན་བསམ་སྦྱོར་ངན་པ་ཞི་བ་དང་།
།ཆོས་དང་མཐུན་པའི་འདོད་དོན་མ་ལུས་པ།
།འབད་མེད་ལྷུན་གྱིས་འགྲུབ་པར་བྱིན་གྱིས་རློབས།
Et aussi
Un peu plus de solidarité.
Un peu plus de justice.
Un peu plus de respect et de bienveillance, notamment vis-à-vis des anciens, trop souvent maltraités en toute légalité pour des raisons bassement économiques.
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