jeudi 31 mars 2016
mercredi 30 mars 2016
mardi 29 mars 2016
Laïcité et religions
Table-ronde : Laïcité et religions, pourquoi est-il si compliqué d'en parler ?
Le Monde des Religions 26/01/2016
Commentaire en réaction à l'exposé du sympathique Abdennour Bidar
Quid des Protestants, artisans et acteurs de la laïcité ?
Par ailleurs, je n'ai pas souvenir que mon audition à l'Observatoire de la laïcité (en tant que présidente de l'UBF) ait tourné à "l'engueulade". :-)
Je n'ai pas souvenir non plus d'une discussion à proprement parler - une audition tient plus d'une soutenance de thèse que du débat d'idées.
Mon sentiment
Il me semble que les Français bouddhistes apprécient la laïcité en tant que cadre garantissant les libertés individuelles, dont la liberté de religion, et aussi la liberté de changer de religion - en d'autres lieux, j'aurais été tuée depuis longtemps, pour cause d'apostasie.
J'ai par ailleurs l'impression que les bouddhistes asiatiques arrivés en France avec le statut de réfugié apprécient le système laïc qui leur permet de pratiquer (ou non) leur religion - même si certains d'entre eux ont du mal à concevoir le concept de séparation des pouvoirs.
A leur décharge, il n'est pas si facile de se faire une idée d'un terme pour le moins ambigu du fait de son sens premier, sans même parler des multiples interprétations.
lundi 28 mars 2016
dimanche 27 mars 2016
Partage de livres
Pour information
Biglib est un site de consommation collaborative qui permet à chacun de donner les livres dont il n'a plus besoin et de recevoir ceux qu'il désire lire.
Le site est entièrement gratuit et sans obligation
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La valeur d'une vie n'est pas partout la même...
A chaque instant, la haine fait des ravages, partout en ce bas monde.
La guerre sévit en de nombreux endroits du globe.
Les attentats se succèdent de jour en jour, ou presque. La plupart au Moyen-Orient et en Afrique. Pas en Europe.
Un exemple parmi - hélas - tant d'autres : ce vendredi 25 mars 2016, un attentat suicide, perpétré à la fin d'un match de football a tué 32 personnes, dont 17 enfants. Mais comme cela s'est passé en Irak, dans un village au sud de Bagdad, c'est "normal"...
Pas de minute de silence.
Pas de marche républicaine.
Guère de prières... A la rigueur pour "les nôtres".
En ce jour de Pâques, mes prières s'élèvent pour toutes les victimes, directes et indirectes, de nos maladies chroniques - l'ignorance, l'attachement et la haine, et leurs innombrables corollaires.
Puissions-nous au plus vite surmonter notre lamentable partialité, et enfin développer l'équinimité, cad l'égalité d'esprit, base incontournable de l'amour et la compassion !
La guerre sévit en de nombreux endroits du globe.
Les attentats se succèdent de jour en jour, ou presque. La plupart au Moyen-Orient et en Afrique. Pas en Europe.
Un exemple parmi - hélas - tant d'autres : ce vendredi 25 mars 2016, un attentat suicide, perpétré à la fin d'un match de football a tué 32 personnes, dont 17 enfants. Mais comme cela s'est passé en Irak, dans un village au sud de Bagdad, c'est "normal"...
Pas de minute de silence.
Pas de marche républicaine.
Guère de prières... A la rigueur pour "les nôtres".
En ce jour de Pâques, mes prières s'élèvent pour toutes les victimes, directes et indirectes, de nos maladies chroniques - l'ignorance, l'attachement et la haine, et leurs innombrables corollaires.
Puissions-nous au plus vite surmonter notre lamentable partialité, et enfin développer l'équinimité, cad l'égalité d'esprit, base incontournable de l'amour et la compassion !
vendredi 25 mars 2016
Sans "l'autre", "je" n'existe pas
Connais-toi toi-même, recommande le sage Socrate.
- Plus facile à dire qu'à faire, en dépit des siècles et des siècles de cogitations.
Je pense, donc je suis, constate Descartes.
Certes, mais quand je ne pense pas, ne suis-je pas ?
Et l'autre, est-il ?
S'il pense, il est sans doute. Mais si c'est moi qui pense qu'il pense et qu'il est ?
Comment l'idée "l'autre" apparaît-elle ?
En contraste de l'idée "je" / "moi" : ce qui n'est pas "moi" est "autre".
Elle semble donc seconde.
"Je" est donc premier.
"Je" est donc supérieur - d'importance supérieure, de valeur supérieure, etc., etc.
"L'autre", qui est par définition extérieur, est différent.
Il est donc effrayant.
Il est une menace.
Il faut donc se défendre.
La meilleur défense est l'attaque...
... Il semble bien que tant qu'on ne se sera pas défait de la saisie du "moi intrinsèque", la paix n'est pas prête à régner en ce bas monde.
Le Bouddha met en évidence le cercle vicieux qu'est le samsara :
l'ignorance en tant que saisie du moi se manifeste ;
elle engendre l'attachement à moi et aux miens, et l'aversion envers l'autre et les siens.
De là découlent tous les maux.
Le remède ?
La sagesse qui comprend le non-soi (l'absence d'existence propre) et l'interdépendance : je conçois "l'autre" par rapport à "moi", mais sans "l'autre", pourrais-je me concevoir en tant que "je" ?
Quel sens "je" aurait-il, sans la base de référence "l'autre" ?
Pour exister, j'ai besoin des autres : pour me donner naissance, pour m'élever, pour m'éduquer, pour m'entourer, me soutenir, me distraire, et même pour concevoir ce que je suis, ou ne suis pas.
Alors, pourquoi ai-je si peur d'eux ?
- Plus facile à dire qu'à faire, en dépit des siècles et des siècles de cogitations.
Je pense, donc je suis, constate Descartes.
Certes, mais quand je ne pense pas, ne suis-je pas ?
Et l'autre, est-il ?
S'il pense, il est sans doute. Mais si c'est moi qui pense qu'il pense et qu'il est ?
Comment l'idée "l'autre" apparaît-elle ?
En contraste de l'idée "je" / "moi" : ce qui n'est pas "moi" est "autre".
Elle semble donc seconde.
"Je" est donc premier.
"Je" est donc supérieur - d'importance supérieure, de valeur supérieure, etc., etc.
"L'autre", qui est par définition extérieur, est différent.
Il est donc effrayant.
Il est une menace.
Il faut donc se défendre.
La meilleur défense est l'attaque...
... Il semble bien que tant qu'on ne se sera pas défait de la saisie du "moi intrinsèque", la paix n'est pas prête à régner en ce bas monde.
Le Bouddha met en évidence le cercle vicieux qu'est le samsara :
l'ignorance en tant que saisie du moi se manifeste ;
elle engendre l'attachement à moi et aux miens, et l'aversion envers l'autre et les siens.
De là découlent tous les maux.
Le remède ?
La sagesse qui comprend le non-soi (l'absence d'existence propre) et l'interdépendance : je conçois "l'autre" par rapport à "moi", mais sans "l'autre", pourrais-je me concevoir en tant que "je" ?
Quel sens "je" aurait-il, sans la base de référence "l'autre" ?
Pour exister, j'ai besoin des autres : pour me donner naissance, pour m'élever, pour m'éduquer, pour m'entourer, me soutenir, me distraire, et même pour concevoir ce que je suis, ou ne suis pas.
Alors, pourquoi ai-je si peur d'eux ?
Menu franchouillard ou rien
Quand j'étais petite, je trouvais très drôles les dessins représentant "le" Français sous les traits d'un quidam coiffé d'un béret, avec une musette ou un panier garnis d'une baguette, d'une bouteille de pinard et d'un saucifflard. J'étais convaincue que c'était caricatural.
J'étais également convaincue que la mission de l'école publique était de nourrir les esprits en transmettant le savoir et les valeurs républicaines, à commencer par liberté, égalité, fraternité.
Il m'avait échappé que le saucifflard fait partie du programme scolaire obligatoire, via le menu des cantines scolaires.
Sur la base du principe de l'égalité, forcément. Car ce ne saurait être pour des raisons religieuses : l'Etat français est laïc.
Pauvres petits écoliers d'origine britannique que les Froggys vont prochainement obliger à avaler des cuisses de grenouille - équité oblige.
De la viande de cheval aussi, d'ailleurs.
C'est vrai, quoi ! Les étrangers qui viennent vivre en France doivent adopter, et sans rechigner, les coutumes locales, et surtout alimentaires, non ?
Tous. Pas seulement certains. Pas question de discriminer qui que ce soit, c'pas ?
------------
Note de la rédactrice
Pourquoi ce post ?
Il m'a été inspiré par une question posée par un participant au colloque les Voix de la paix, qui se sont élevées à la Mairie de Paris ce mardi 22 mars 2016 - un bel événement, hautement symbolique, qui a rassemblé pas loin de mille personnes de 16h à tard le soir.
La question portait sur les pratiques (religieuses) d'ordre alimentaire et leur caractère éventuellement diviseur.
C'est une question tout à fait légitime, et très intéressante.
On pourrait être tenté de répondre qu'effectivement, ne pas manger pareil divise.
D'un autre côté, la réalité est que, même au sein d'une famille unie, partageant la même culture et les mêmes habitudes de vie, on n'a pas forcément les mêmes goûts.
D'où le charme des buffets, ou des restaurants, qui permettent de partager un bon repas sans pour autant consommer les mêmes mets.
Pourquoi diantre tolérons-nous (relativement) facilement la diversité alimentaire quand elle procède des goûts personnels ou des habitudes culturelles (j'ai cependant ouï dire que l'usage français de consommer de la viande de cheval suscite ici et là de nobles indignations), mais pas quand elle relève de pratiques religieuses ?
Mystère...
J'étais également convaincue que la mission de l'école publique était de nourrir les esprits en transmettant le savoir et les valeurs républicaines, à commencer par liberté, égalité, fraternité.
Il m'avait échappé que le saucifflard fait partie du programme scolaire obligatoire, via le menu des cantines scolaires.
Sur la base du principe de l'égalité, forcément. Car ce ne saurait être pour des raisons religieuses : l'Etat français est laïc.
Pauvres petits écoliers d'origine britannique que les Froggys vont prochainement obliger à avaler des cuisses de grenouille - équité oblige.
De la viande de cheval aussi, d'ailleurs.
C'est vrai, quoi ! Les étrangers qui viennent vivre en France doivent adopter, et sans rechigner, les coutumes locales, et surtout alimentaires, non ?
Tous. Pas seulement certains. Pas question de discriminer qui que ce soit, c'pas ?
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Note de la rédactrice
Pourquoi ce post ?
Il m'a été inspiré par une question posée par un participant au colloque les Voix de la paix, qui se sont élevées à la Mairie de Paris ce mardi 22 mars 2016 - un bel événement, hautement symbolique, qui a rassemblé pas loin de mille personnes de 16h à tard le soir.
La question portait sur les pratiques (religieuses) d'ordre alimentaire et leur caractère éventuellement diviseur.
C'est une question tout à fait légitime, et très intéressante.
On pourrait être tenté de répondre qu'effectivement, ne pas manger pareil divise.
D'un autre côté, la réalité est que, même au sein d'une famille unie, partageant la même culture et les mêmes habitudes de vie, on n'a pas forcément les mêmes goûts.
D'où le charme des buffets, ou des restaurants, qui permettent de partager un bon repas sans pour autant consommer les mêmes mets.
Pourquoi diantre tolérons-nous (relativement) facilement la diversité alimentaire quand elle procède des goûts personnels ou des habitudes culturelles (j'ai cependant ouï dire que l'usage français de consommer de la viande de cheval suscite ici et là de nobles indignations), mais pas quand elle relève de pratiques religieuses ?
Mystère...
Immigration et interdépendance
Faut-il ou non "accueillir" les immigrés / migrants / réfugiés ?
Question ô combien délicate !
Mais pas tant que ça si on y réfléchit sous l'angle de l'interdépendance.
Partons de l'hypothèse qu'on ne veut rien ni personne qui soit étranger, étrange, venu de l'extérieur. Peu important les dates d'arrivée, exit tout ce qui n'est pas bien de chez nous.
Maintenant, regardons ce qui nous reste de purement français.
A n'en pas douter, ce grand nettoyage de printemps aura fait place nette, dans tous les domaines - alimentaire, technique, scientifique, linguistique ou autres.
Nous y voyons enfin clair !
Fini, les orgies de frites ou de chocolat.
Allégés, les dictionnaires débarrassés de tous ces mots empruntés au latin, au grec et à moult autres langues étrangères.
Heureux, les piétons désormais seuls propriétaires des rues et avenues, la roue ayant été réexpédiée dans son pays natal.
Tant pis pour les matheux nostalgiques des chiffres arabes et même romains.
Tant pis pour les scientifiques réduits au silence faute de mots - après tout, rien ne les empêche d'inventer des idéogrammes indigènes.
Tant pis pour un pan très rentable de notre économie - l'armement-, faute de poudre - eh non, nous ne l'avons pas inventée, la poudre.
Sur le plan religieux, nous ne savons hélas pas grand chose des dieux gaulois, et de toute façon le druidisme a des origines litigieuses. Certains prétendent qu'il serait issu de l'île de Bretagne. Fi donc.
Dans le monde politique, aïe, il va falloir renouveler les cadres...
Question ô combien délicate !
Mais pas tant que ça si on y réfléchit sous l'angle de l'interdépendance.
Partons de l'hypothèse qu'on ne veut rien ni personne qui soit étranger, étrange, venu de l'extérieur. Peu important les dates d'arrivée, exit tout ce qui n'est pas bien de chez nous.
Maintenant, regardons ce qui nous reste de purement français.
A n'en pas douter, ce grand nettoyage de printemps aura fait place nette, dans tous les domaines - alimentaire, technique, scientifique, linguistique ou autres.
Nous y voyons enfin clair !
Fini, les orgies de frites ou de chocolat.
Allégés, les dictionnaires débarrassés de tous ces mots empruntés au latin, au grec et à moult autres langues étrangères.
Heureux, les piétons désormais seuls propriétaires des rues et avenues, la roue ayant été réexpédiée dans son pays natal.
Tant pis pour les matheux nostalgiques des chiffres arabes et même romains.
Tant pis pour les scientifiques réduits au silence faute de mots - après tout, rien ne les empêche d'inventer des idéogrammes indigènes.
Tant pis pour un pan très rentable de notre économie - l'armement-, faute de poudre - eh non, nous ne l'avons pas inventée, la poudre.
Sur le plan religieux, nous ne savons hélas pas grand chose des dieux gaulois, et de toute façon le druidisme a des origines litigieuses. Certains prétendent qu'il serait issu de l'île de Bretagne. Fi donc.
Dans le monde politique, aïe, il va falloir renouveler les cadres...
mardi 22 mars 2016
Prières pour Bruxelles et les victimes des attentats
Explosions à Bruxelles ce matin (mardi 22 mars 2016) à l'aéroport et dans le métro, non loin des institutions européennes.
Triste illustration des ravages de l'ignorance et de ses séides, la haine et l'attachement.
Le seul remède est sans doute la sagesse, combinée à l'amour et la compassion, sur base d'éthique.
La méthode : l'EDUCATION et l'INSTRUCTION !
Il serait grand temps de cesser de vilipender les valeurs civiques/civiles et de tourner la morale en dérision...
Triste illustration des ravages de l'ignorance et de ses séides, la haine et l'attachement.
Le seul remède est sans doute la sagesse, combinée à l'amour et la compassion, sur base d'éthique.
La méthode : l'EDUCATION et l'INSTRUCTION !
Il serait grand temps de cesser de vilipender les valeurs civiques/civiles et de tourner la morale en dérision...
mercredi 16 mars 2016
jeudi 10 mars 2016
21/02/2016 SS Dalaï Lama à Minneapolis
Conférence au Minneapolis Convention Center (Minnesota)
Vidéo postée 24 février 2016 le par Lugnyi Phuntsok Khang
Vidéo postée 24 février 2016 le par Lugnyi Phuntsok Khang
19/02/2016 SS Dalaï Lama en vite chez des Soeurs franciscaines
Vidéo postée le 20 février 2016 par tenzin jamphel
His Holiness The Dalai Lama visits at Sisters of Saint Francis Rochester Minnesota USA. 19-02-2016
His Holiness The Dalai Lama visits at Sisters of Saint Francis Rochester Minnesota USA. 19-02-2016
mardi 8 mars 2016
Journée internationale des droits des femmes
Le 8 mars serait "la journée des femmes"...
Serait-ce que les 364 ou 365 jours restants seraient des "journées des hommes" ?
Pas très équitable, ça.
Encore moins que les salaires respectifs, y compris dans notre beau pays, en dépit de sa magnifique devise : Liberté, égalité, fraternité.
Pour me rasséréner, je crois que je vais aller me replonger dans les biographies des grands disciples femmes du Bouddha (cela remonte à environ 2500 ans) - Cf. Tome 2 de l'excellent ouvrage de Tera et Hecker, intitulé Les Grands Disciples du Bouddha.
Il y apparaît qu'avec des pratiques similaires, femmes et hommes obtiennent des résultats similaires : libération, Eveil.
Dûment réconfortée, je pourrais m'adonner à une pratique de Tara - Bouddha féminin, qui par ailleurs condense l'activité de TOUS les Bouddhas.
On raconte que, jadis, en début de chemin spirituel, une jeune fille fit le voeu classique dans le mahayana d'atteindre l'Eveil suprême pour accomplir le bien de tous les êtres, et y ajouta le voeu nettement moins courant de d'ici là prendre de vie en vie des supports de corps féminin.
Serait-ce que les 364 ou 365 jours restants seraient des "journées des hommes" ?
Pas très équitable, ça.
Encore moins que les salaires respectifs, y compris dans notre beau pays, en dépit de sa magnifique devise : Liberté, égalité, fraternité.
Pour me rasséréner, je crois que je vais aller me replonger dans les biographies des grands disciples femmes du Bouddha (cela remonte à environ 2500 ans) - Cf. Tome 2 de l'excellent ouvrage de Tera et Hecker, intitulé Les Grands Disciples du Bouddha.
Il y apparaît qu'avec des pratiques similaires, femmes et hommes obtiennent des résultats similaires : libération, Eveil.
Dûment réconfortée, je pourrais m'adonner à une pratique de Tara - Bouddha féminin, qui par ailleurs condense l'activité de TOUS les Bouddhas.
On raconte que, jadis, en début de chemin spirituel, une jeune fille fit le voeu classique dans le mahayana d'atteindre l'Eveil suprême pour accomplir le bien de tous les êtres, et y ajouta le voeu nettement moins courant de d'ici là prendre de vie en vie des supports de corps féminin.
Ling Chogtrul Rinpoche
Ling Chogtrul Rinpoche, 7e de la lignée, est venu plusieurs fois en France, à l'invitation du Vén. Dagpo Rinpoche.
Sur son site, vous trouverez entre autres son programme annuel et de très jolies photos.
Sur son site, vous trouverez entre autres son programme annuel et de très jolies photos.
dimanche 6 mars 2016
mercredi 2 mars 2016
«Les prophètes de l'ombre»
Un documentaire de Jean-Charles Doria,
Islamistes en prison : "les prophètes de l’ombre"
sera diffusé
le jeudi 3 mars 2016 à 23h15
sur France 3 et francetv info.
Résumé :
Dans la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis, Jean-Charles Doria a obtenu l'autorisation exceptionnelle de filmer, dans leur cellule, des fondamentalistes qui se réclament de l'Etat Islamique. Il a également posé sa caméra dans la cour de promenade, où les mentors recrutent leurs disciples, et a suivi la prière aux côtés de l'imam officiel de la prison, qui tente de remettre dans le droit chemin les détenus prêts à basculer. Quant aux surveillants, qui luttent eux aussi contre le prosélytisme et la radicalisation, ils semblent parfois bien démunis face à la force de persuasion de ces «prophètes de l'ombre».
http://www.france3.fr/emissions/documentaires/videos/la_promenade_lieu_de_radicalisation_03-03-2016_1072105?origin=ftv_diffusion
http://www.france3.fr/emissions/documentaires/videos/lisolement_des_detenus_03-03-2016_1072121?origin=ftv_diffusion
Islamistes en prison : "les prophètes de l’ombre"
sera diffusé
le jeudi 3 mars 2016 à 23h15
sur France 3 et francetv info.
Résumé :
Dans la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis, Jean-Charles Doria a obtenu l'autorisation exceptionnelle de filmer, dans leur cellule, des fondamentalistes qui se réclament de l'Etat Islamique. Il a également posé sa caméra dans la cour de promenade, où les mentors recrutent leurs disciples, et a suivi la prière aux côtés de l'imam officiel de la prison, qui tente de remettre dans le droit chemin les détenus prêts à basculer. Quant aux surveillants, qui luttent eux aussi contre le prosélytisme et la radicalisation, ils semblent parfois bien démunis face à la force de persuasion de ces «prophètes de l'ombre».
http://www.france3.fr/emissions/documentaires/videos/la_promenade_lieu_de_radicalisation_03-03-2016_1072105?origin=ftv_diffusion
http://www.france3.fr/emissions/documentaires/videos/lisolement_des_detenus_03-03-2016_1072121?origin=ftv_diffusion
mardi 1 mars 2016
SS Karmapa Ogyen Trinle Dorje à Paris en juin 2016
L’association Karmapa-Paris annonce
la venue de S.S. KARMAPA OGYEN TRINLE DORJE
à Paris les 4 et 5 juin 2016
Centre de Conférence Hôtel Marriot Rive Gauche
17, bd Saint Jacques 75014 Paris
SAMEDI 4 JUIN
09h30 à 11h30 : Enseignement sur les 4 nobles vérités.
14h00 à 16h00 : Méditation guidée
DIMANCHE 5 JUIN
09h30 à 11h30 : Conférence sur le bonheur et la paix
14h00 à 16h00 : Initiation de Tchenrezi
la venue de S.S. KARMAPA OGYEN TRINLE DORJE
à Paris les 4 et 5 juin 2016
Centre de Conférence Hôtel Marriot Rive Gauche
17, bd Saint Jacques 75014 Paris
SAMEDI 4 JUIN
09h30 à 11h30 : Enseignement sur les 4 nobles vérités.
14h00 à 16h00 : Méditation guidée
DIMANCHE 5 JUIN
09h30 à 11h30 : Conférence sur le bonheur et la paix
14h00 à 16h00 : Initiation de Tchenrezi
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