Nos proches, ballottés dans
l’océan du samsara
Et aspirés par de puissants
tourbillons,
Nous ne les reconnaissons pas
suite aux morts et naissances. Les abandonner
Et nous libérer nous tout
seuls ? Il ne serait rien de plus vil !
(Extrait de la Lettre à un disciple, de Candragomin)
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