dimanche 15 mars 2020

Vue d'éternalisme

"Beaucoup cependant espéraient que l'épidémie allait s'arrêter et qu'ils seraient épargnés avec leur famille. En conséquence, ils ne se sentaient encore obligés à rien." 
(Albert Camus, La Peste)

Et le César du meilleur film de science-fiction, en 4DX s'il vous plaît, est décerné à En l'an 2020.

Oh ! Pardon. Ce n'est pas un film. C'est l'actualité. Internationale. 
Actualité qui met à mal bien des clichés, avec des Italiens bien plus disciplinés que certains de leurs proches voisins, des Italiens qui affrontent l'adversité virale et le confinement en chantant sur leurs balcons.

Alors nous autres, irréductibles Gaulois, que faire entre deux (?) tours de scrutin ? 

Aller au cinéma, au théâtre ou tout simplement au bureau ? Que nenni.
Et si nous en profitions pour tourner notre regard vers nos spectacles intérieurs ? 

Nous avons l'embarras du choix entre les scenarii - bon, d'accord, scénarios, en bon français moderne. 

Un exemple au hasard. Parmi les klesha de base, figurent en bonne place les vues erronées, non vertueuses. Une des cinq, fort active, est dénommée "vue d'éternalisme" 
 ལོག་ལྟ

 Puisque la période est plutôt propice pour la traque aux virus et la recherche de vaccins, nous pourrions essayer de trouver les réponses à quelques questions du genre : 
* Quelle(s) différence(s) entre "vue d'éternalisme" et "saisie d'éternalisme" རྟག་འཛིན་ ?
* Les personnes vulnérables ? Les symptômes - au début, au milieu, à la fin ? Les effets secondaires ? Les remèdes ?






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