En réponse à Fred, il est dit que la puissance des karma - bons comme mauvais d'ailleurs - est déterminée par de nombreux critères tels que la fréquence, l'intensité et aussi les "champs", c'est à dire les objets concernés.
Les champs dits spécifiques sont de plusieurs sortes :
cela va des êtres en grande difficulté pour une raison ou une autre (âge, maladie, misère, etc.) aux personnages le plus élevés (bodhisattva, Bouddha, Maîtres personnels - en ordre croissant), en passant par tous les êtres d'une grand bienveillance (parents, professeurs, bienfaiteurs).
En clair, un même geste en apparence entraîne l'accumulation de karma plus ou moins forts en fonction du destinataire - victime ou bénéficiaire.
Il est donc pire d'injurier sa mère qu'un parfait inconnu - sauf si celui-ci s'avère être un Bouddha ! Il est plus grave de taper sur un faible que sur un colosse.
Ou encore, les mérites sont plus grands si on fait un petit don à un pauvre hère que si on offre un beau cadeau à un nanti. Le miséreux, lui, en avait besoin.
Au fond, c'est tout ce qu'il y a de plus logique...
Merci pour cette explication très claire et effectivement très logique que je ferai en sorte de retenir cette fois-ci !...
RépondreSupprimerAmicalement,
Fred