Comment raisonner pour éviter de déclencher l'armée des facteurs perturbateurs, me demande une amie.
Ah ! Si je le savais autrement que vaguement sur le plan strictement intellectuel !
Car tel est bien LE problème.
Je ne peux ressortir que ce que j'ai retenu sur le plan théorique des Enseignements reçus mais guère appliqués : on ne peut plus rien faire quand la crise est là.
Il faut agir en amont. C'est quand tout va bien et que nous sommes paisibles qu'il conviendrait d'affaiblir le plus possible nos ennemis intimes que sont nos facteurs perturbateurs.
Encore faudrait-il alors réussir à y penser. Sans compter que quand nous nous sentons bien, c'est souvent non parce que nous échappons à nos klesha, mais parce que nous ronronnons sous l'influence lénifiante des finalement plus dangereux d'entre eux car doucereux et hypocrites : la paresse, la distraction, la suffisance (etc.). Et bien évidemment l'attachement.
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