La pratique dépend non pas de la teneur de l’activité accomplie, mais de l’état d’esprit dans lequel on l’effectue. On peut très bien pratiquer en passant la serpillère ou en faisant la cuisine, tout comme on risque fort de ne pas être en train de pratiquer alors même qu’on passe des heures assis en posture en posture de méditation. C’est « juste » une question d’état d’esprit.
En tibétain, on appelle lamrim, littéralement "étapes de la voie qui mène à l'Eveil de Bouddha", les instructions qui explicitent le thème caché du Sutra de la sagesse : leur teneur, leur nombre et leur ordre.
Bonjour Madame Boussemart,
RépondreSupprimerJe lit votre blog avec attention et je souhaiterais vous poser une question concernant la méditation : depuis 2 ans je médite presque tous les soirs entre 20 et 30 minutes. Récemment, je suis resté une semaine sans méditer ; après cela, je me suis senti très stessée et presque angoissée. Ma question est la suivante : peut-il y avoir un rapport avec le manque de pratique de la semaine en question ?
Merci pour votre réponse.
Bonne soirée.
Téca