Il faut éviter que n’entrent dans le champ de vision du
mourant des objets susceptibles de générer en lui un vif attachement ou une
forte aversion, qu'il s'agisse de biens matériels ou de personnes, chéries ou détestées. Il faut s'abstenir à portée d’ouïe de sa part de tenir de discuter du partage de ses affaires après sa mort. Il faut se garder de faire de bruit, qu’il
s’agisse de cris, de sanglots, de gémissements ou autre. En résumé, il est
essentiel de faire le maximum pour que le mourant puisse avoir l’esprit
paisible.
Le bouddhisme propose une "gestion de la mort", aussi bien pour les accompagnants que pour les mourants, et même pour l'après-mort, et c'est l'un des facteurs qui m'a attiré vers le bouddhisme.
RépondreSupprimerLes récits de réincarnation semblant crédibles, la question se posait alors de savoir comment maîtriser le processus, au lieu de le subir. J'ai fini par découvrir que le bouddhisme traitait de ce sujet, après tout de même trois décennies d'errances. Mieux vaut tard que jamais !