jeudi 5 février 2015

Accompagnement en fin de vie


Il faut éviter que n’entrent dans le champ de vision du mourant des objets susceptibles de générer en lui un vif attachement ou une forte aversion, qu'il s'agisse de biens matériels ou de personnes, chéries ou détestées. Il faut s'abstenir à portée d’ouïe de sa part de tenir de discuter du partage de ses affaires après sa mort. Il faut se garder de faire de bruit, qu’il s’agisse de cris, de sanglots, de gémissements ou autre. En résumé, il est essentiel de faire le maximum pour que le mourant puisse avoir l’esprit paisible.

1 commentaire:

  1. Le bouddhisme propose une "gestion de la mort", aussi bien pour les accompagnants que pour les mourants, et même pour l'après-mort, et c'est l'un des facteurs qui m'a attiré vers le bouddhisme.

    Les récits de réincarnation semblant crédibles, la question se posait alors de savoir comment maîtriser le processus, au lieu de le subir. J'ai fini par découvrir que le bouddhisme traitait de ce sujet, après tout de même trois décennies d'errances. Mieux vaut tard que jamais !

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