Admettons que le monde soit plat comme une médaille (après tout, certains sont convaincus qu'il l'est, plat), et jetons un coup d'oeil à ses deux faces.
Côté pile : Le tableau est sombre, et pour le moins inquiétant : les guerres et massacres se déplacent sans jamais prendre fin; les épidémies et famines gagnent chaque jour du terrain ; les récessions s'aggravent et les dérèglements climatiques génèrent des effets dont l'ampleur nous échappe sans doute.
Côté face : Des facteurs d'espoir sont patents : les avancées de la science et de la technique rendent aujourd'hui possible l'impossible d'hier ; les moyens d'information et de communication entraînent une meilleure connaissance mutuelle, d'où (chez quelques-uns) plus de compréhension et plus d'ouverture ; des prises de conscience suscitent ici et là de sincères réactions en faveur de la paix et d'une plus grande solidarité.
Conclusion : aucune... A part peut-être : "Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir."
Comme le dit souvent Rinpoche (si j'ai bien compris) : "On ne peut que se réjouir des progrès extraordinaires accomplis par la science. Il faudrait simplement que les progrès intérieurs soient à la hauteur des progrès extérieurs... Sinon, ceux-ci risquent de se retourner contre nous, si nous n'en gardons pas la maîtrise"
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