En Occident (en Asie aussi, peut-être, après tout), nombreux sont les pratiquants bouddhistes qui ne savent plus où donner de la tête et se sentent débordés par la liste "des pratiques quotidiennes" auxquelles ils se sont engagés au fil des années.
Au point parfois de tout laisser tomber !
C'est sans doute pour me préserver d'un tel danger que l'un des mes Maîtres me répète souvent que les gens avisés savent s'adapter au contexte, en développant les récitations et méditations quand ils sont tranquilles, et en condensant les jours de presse.
"Vouloir à tout prix faire exactement la même chose chaque jour, alors qu'on est malade ou épuisé, est pure idiotie, me dit-il. Cela ne sert qu'à se dégoûter de la pratique."
Et puis, en réalité, qu'est-ce que la pratique du Dharma, sinon un travail sur soi ?
Les prières, les méditations, les circumambulations, etc., sont des moyens. Pas des fins en soi. Ne pas confondre.
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