A l'origine de nos tourments résident les "poisons de l'esprit", pour reprendre la terminologie imagée du bouddhisme. Qui propose des remèdes, bien sûr.
Souffrons-nous d'attachement ? Réfléchissons un peu plus avant aux côtés négatifs des objets qui le suscite d'ordinaire, et principalement à leur caractère impermanent : à quoi faire tout un plat pour quelque chose de si éphémère ?
L'irritation nous gâche la vie ? Cultivons l'amour - la meilleure "arme" qui soit.
Sommes-nous de doux rêveurs, dotés d'une imagination fertile ? Adonnons-nous à la concentration sur la respiration.
Nous sommes quelque peu imbus de nous-mêmes ? Prenons la mesure de tout ce que nous ignorons, dans tous les domaines - y compris ceux dont nous estimons être des spécialistes... Et n'hésitons pas à multiplier les prosternations : cela nous fera le plus grand bien à tous les points de vue.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire