La méditation,
qui est une pratique fondamentale pour les bouddhistes, connaît maintes
déclinaisons, entre ceux qui n’admettent que la seule concentration de type shamatha et ceux qui admettent en outre la démarche analytique de type
vipassyana. Sur les recommandations de Je Rinpoche, les gelugpa unissent les deux types de méditation.
La méditation est une technique qui n’est pas propre aux
bouddhistes, loin de là. Pour qu’elle relève de la pratique du Dharma, elle
doit être précédée et fondée sur une prise de refuge, et elle doit être conclue
par une dédicace, la plus large possible de préférence.
La posture est importante, car elle favorise une bonne
méditation. Elle n’est pas une fin en soi, mais un moyen.
S'il est plus confortable
d’utiliser un coussin, c'est sans aucun caractère obligatoire. Les
anachorètes n’en ont pas dans les montagnes, et il n’est pas
interdit de s’asseoir sur une chaise si on ne tient pas assis les jambes croisées.
La méditation de pleine conscience, dont les scientifiques démontrent régulièrement les effets bénéfiques sur la santé, fait-elle partie des enseignements bouddhistes?
RépondreSupprimerS'il m'est encore difficile de méditer ou plus encore d'organiser mon temps pour m'y consacrer 1h par jour, je ne le regrette jamais car j'y trouve le calme et l'attention qui m'accompagneront tout au long de la journée.
RépondreSupprimerCes moments deviennent alors indispensables et les plus forts de la journée...