Un petit court-métrage génial. Grand prix du CM et prix du public au festival EOP! 2013. Un bijou d'humour à voir !
Thomas Howell attend nerveusement son entretien d’embauche dans un cabinet d’avocats réputé.Quand il voit arriver le recruteur, son étonnement est sans bornes …
Un jeune trisomique vient le chercher. Il se présente comme Paul Dexter, son supérieur hiérarchique potentiel, et prie Thomas d’entrer dans son bureau. Le candidat ne sait trop quoi penser et demande poliment si quelqu’un d’autre va les rejoindre pour l’entretien. Paul répond par la négative et lance une remarque désobligeante sur la cravate de Thomas. L’entretien devient de plus en plus absurde, avant de prendre un tournant inattendu.
Née en 1988 à Newcastle, Australie, Genevieve Clay-Smith a étudié à la Hunter School of Performing Arts de Broadmeadow. En 2009, elle est récompensée au Festival Tropfest. Elle défend les valeurs de justice sociale et d’inclusion de personnes ayant un handicap. Robin Bryan est la co-réalisatrice de ce film.
Thomas Howell attend nerveusement son entretien d’embauche dans un cabinet d’avocats réputé.Quand il voit arriver le recruteur, son étonnement est sans bornes …
Un jeune trisomique vient le chercher. Il se présente comme Paul Dexter, son supérieur hiérarchique potentiel, et prie Thomas d’entrer dans son bureau. Le candidat ne sait trop quoi penser et demande poliment si quelqu’un d’autre va les rejoindre pour l’entretien. Paul répond par la négative et lance une remarque désobligeante sur la cravate de Thomas. L’entretien devient de plus en plus absurde, avant de prendre un tournant inattendu.
Née en 1988 à Newcastle, Australie, Genevieve Clay-Smith a étudié à la Hunter School of Performing Arts de Broadmeadow. En 2009, elle est récompensée au Festival Tropfest. Elle défend les valeurs de justice sociale et d’inclusion de personnes ayant un handicap. Robin Bryan est la co-réalisatrice de ce film.
"la vidéo n'est plus disponible pour raison de droits d'auteurs etc..."
RépondreSupprimerVoilà qui ne va pas beaucoup aider le handicap ainsi que le changement de nos regards à son sujet...
... ~?~ ... ~?~ ... ~?~ ...
Terminologie intéressante :
RépondreSupprimer"Le mot « handicap » emprunté en 1827, vient de l'expression anglaise hand in cap , signifiant « main dans le chapeau ». Dans le cadre d'un troc de biens entre deux personnes, il fallait rétablir une égalité de valeur entre ce qui était donné et ce qui était reçu : ainsi celui qui recevait un objet d'une valeur supérieure devait mettre dans un chapeau une somme d'argent pour rétablir l'équité. L'expression s'est progressivement transformée en mot puis appliquée au domaine sportif (courses de chevaux notamment) au XVIIIe siècle. En hippisme, un handicap correspondait à la volonté de donner autant de chances à tous les concurrents en imposant des difficultés supplémentaires aux meilleurs."
(source wiki)
Donc d'un point de vue bouddhiste, une personne handicapée doit sa condition parce qu'elle expérimente un résultat de karma dit "négatif", et les meilleurs pratiquants arrivent à s'en réjouir car ça en fait un de moins....
Mais peut-être aussi parce qu'elle a tenté le triple salto arrière, du genre: "maman , t'as vu sans les mains...."
Ce 2ème angle de vue me plait bien et me redonne l'énergie telle "le cheval dans le vent"
"Allez hue !
Tsseu ! Tsseu ! Tsseu ! "
P.S
RépondreSupprimer...et puisque cette vidéo n'est plus visible, j'en propose une autre, très courte et très belle : un trio de jambes qui improvise...
http://www.dailymotion.com/video/xaxi2m_duo-improvise-brahem-aiache-et-nico_creation
Ze Big Lebeaufski Ô Brarakourcix
Chouette elle est redevenue disponible !
RépondreSupprimer:o)
...Aussi , une invitation à lire le 1er ouvrage d'Alexandre Jolien ( qu'on ne présente plus ),
"l'éloge de la faiblesse"
http://www.alexandre-jollien.ch/wp-content/uploads/2010/08/Couverture_Eloge-de-la-faiblesse.jpg
un extrait d'un commentaire d'une lectrice :
"Ce livre est présenté sous forme d'un dialogue entre Alexandre Jollien et Socrate.[...] Il faut savoir qu'Alexandre s'est intéressé à la philosophie à un moment de sa vie où il avait besoin d'améliorer le regard qu'il portait sur son corps. Pour parer aux difficultés quotidiennes, il lisait les philosophes qui devenaient pour lui des interlocuteurs privilégiés. Socrate a joué un rôle décisif. Ces lectures lui ont permis de prendre du recul sur sa propre situation. De mieux accepter son handicap. Alexandre envisage d'ailleurs la philosophie avant tout comme une interrogation libre de tout préjugé, comparable à une loupe qui grossit les traits du réel. Il choisit l'humour pour relativiser des situations parfois tragiques de l'existence."
Le Big Lebeaufski du Benkale